Sonny By Name pour Footpatrol x Saucony

01.06.22 General



Sonny By Name, est un membre à part entière de la famille Footpatrol. C’est pourquoi dans le cadre de notre collaboration avec Saucony, nous avons fait appel à lui pour créer une édition limitée de 10 vestes inspirées de la silhouette de la Jazz ’81. Basé dans son studio à Londres, Sonny a utilisé les mêmes matériaux que la chaussure pour créer une veste indéniablement sur mesure et intemporelle. Pour célébrer cette pièce unique, nous nous sommes entretenus avec Sonny pour en savoir plus sur les influences qui se cachent derrière la conception et le processus de fabrication de la veste. Ne manquez pas de consulter le compte instagram de Footpatrol Paris pour savoir comment vous pourrez bientôt mettre la main sur l’une de ces vestes très limitées !

Footpatrol : Salut Sonny, pour les personnes qui ne savent pas qui tu es et ce que tu fais, peux-tu nous parler un peu de toi ?

Sonny : Je suis un designer basé à Londres, qui travaille principalement dans le textile. Actuellement, je me consacre à la marque que j’ai lancée au début de l’année dernière, Sonny By Name.

FP : Peux-tu nous parler du processus créatif et de la confection de la veste ?

S : Mon objectif principal était de retranscrire la Footpatrol x Saucony Jazz en veste. Je me suis donc référé aux matériaux utilisés, ses couleurs et les superpositions de couches présentes sur la chaussure. Une fois le design de la veste finalisé, je pouvais alors commencer à imaginer son patron. Et après avoir produit un exemplaire très prometteur et calibré toutes les tailles moi-même, je me suis senti confiant pour aller de l’avant et produire les 10 pièces totales. Tout le processus de création s’est déroulé dans mon studio à Londres.

FP : Comment as-tu eu l’idée de ce style de veste ? Y a-t-il quelque chose en particulier qui t’a inspiré ?

S : L’idée derrière le style des vestes est née d’une recherche sur les vestes d’aviateur et celles des courses automobiles. Je me suis légèrement inspiré de leurs silhouettes, de leur différentes caractéristiques et surtout de leur durabilité.

FP : Comment était-ce de travailler sur ce projet pour le 20ème anniversaire de Footpatrol ?

S : 20 ans est une grand accomplissement et une étape importante pour Footpatrol, je me suis donc senti honoré quand ils m’ont approché pour travailler sur un projet pour leur anniversaire. C’était un plaisir de travailler avec Asheeba Charles (Directrice créative de Footpatrol) pour développer son design et je suis vraiment ravi de révéler le résultat de ce travail. J’ai beaucoup aimé cette expérience et j’attends avec impatience les futurs projets qui pourraient se présenter à moi.

FP : Comment as-tu appréhendé le fait d’utiliser les matériaux de la chaussure sur la veste ? As-tu rencontré des difficultés ?

S : Le seul défi à relever lors de la manipulation des matériaux a été le daim. L’emplacement et l’inconsistance de son épaisseur ont dû être pris en compte non seulement pour le confort, mais aussi pour des raisons de mobilité du bras. Cette étape fût la plus longue, mais l’une de mes parties préférées du processus, a été de coudre chaque ligne pour créer le même motif en oignon que celui utilisé sur la languette de la chaussure. On retrouve cette technique sur différentes parties de la veste.

FP : Enfin, je suis sûre que les gens vont se demander comment mettre la main sur une des vestes… Peux-tu nous en dire plus ?

S : C’est une bonne question… La veste a été fabriquée en quantité très limitée en raison de sa production artisanale et a été offerte à ceux qui ont participé au projet. Cependant, nous ne pouvions pas ne pas vous laisser l’opportunité de mettre la main dessus. Pour l’instant, je vous conseille de rester à l’affut des comptes Instagram de Footpatrol pour en savoir plus sur comment en obtenir une.

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Interview de Julia Chiang, Vault By Vans For IWD

11.03.22 General



Cette année, en mars, à l’occasion de la Journée internationale des droits de la femme, Vault by Vans nous à invité à leur évènement en collaboration avec Sarah Andelman. Fondatrice de l’agence d’édition et de création Just An Idea et cofondatrice et ancienne directrice de la création de Colette, le légendaire concept store parisien qui a brouillé les frontières entre le style, la musique, l’art et le design. Figure emblématique de la mode et du streetwear, Sarah Andelman a organisé plus de 200 expositions pour la galerie, planifié des centaines de présentations uniques en leur genre et visuellement immersives ainsi que lancé d’innombrables collaborations et partenariats exclusifs. Ce travail de sélection ne met pas seulement en évidence son goût irréprochable et sa passion pour le storytelling, mais il l’amène encore plus loin dans le vaste réseau des femmes qui nous inspirent.

Grâce à son partenariat avec Vault by Vans, Sarah Andelman réunit un groupe de quatre femmes inspirantes du monde entier, Julia Chiang, Fumiko Imano , Sindiso Khumalo et Soko réunies avec amour pour célébrer chaque jour la Journée internationale des droits de la femme.

Chaque artiste a été triée sur le volet par Sarah et a créé une collection limitée de chaussures et de vêtements qui sera disponible pour les adultes et les enfants. La collection Vault by Vans créée par Sarah Andelman est déjà en vente chez certains revendeurs Vault by Vans.

Nous avons eu la chance de nous entretenir avec Julia Chiang qui a décidé de se réapproprier la Vans Authentic LX pour l’occasion.

 

Pour les personnes qui ne seraient pas familières avec votre travail ? Pourriez-vous nous expliquer brièvement qui vous-êtes et ce que vous faites ? 

Je suis une artiste originaire et travaillant à Brooklyn. Mon travail consiste majoritairement à la création de peinture, la réalisation de sculpture en céramique et je suis aussi maman de deux petites filles. 

Quand avez-vous pris conscience de votre passion pour l’art ? 

Mes premiers souvenirs sont remplis de moi en train de créer. Nous n’étions pas une famille axée jouets ou télévision, donc dès que nous avions du temps libre, nous le passions dehors ou à créer des choses de toutes sortes. J’ai toujours aimé faire les deux et cela fait partie intégrante de moi depuis aussi loin que je puisse me souvenir. 

Pouvez-vous nous raconter comment vous avez fait la rencontre de Sarah Andelman et comment la collaboration à l’occasion de la journée internationale des droits de la femme a-t-elle eu lieu ? 

J’ai rencontré Sarah via des amis il y a quelques années de ça et il s’est passé plusieurs années avant que j’ai l’opportunité de lui partager mon travail. En 2012, Sarah m’a invité à exposer dans son tant regretté magasin et galerie, Colette. Je me sens privilégié de faire partie de cette collaboration et de pouvoir travailler à nouveau avec Sarah.

Votre nouvelle collection Authentic LX avec Vans est décrite comme une représentation imaginaire de la façon dont les chaussures et les vêtements vivraient dans le monde réel, comment cette collection reflète-t-elle votre propre identité et le travail que vous créez ?

Je suis une personne très active, j’aime pratiquer plein de sports différents et courir partout avec mes enfants et leurs amis. Je voulais créer des pièces que je pouvais imaginer sur des amis et leurs enfants et sur nous tous, vivant nos vies, faisant ce que nous aimons et fonctionnant de manière concrète. Entourée d’artistes, de skaters, de surfeurs, de parents, d’artistes, d’enseignants, j’imagine ces pièces sur chacun d’entre nous. 

Qu’est-ce que signifie la journée internationale des droits de la femme pour vous ? 

C’est une journée pour prendre du recul et reconnaître l’importance des femmes dans nos vies. C’était nécessaire, lors de la création de cette journée et il est d’autant plus important de la célébrer aujourd’hui car les droits des femmes sont remis en question quotidiennement. S’il y a des choses à célébrer, il y a tout autant, sinon plus, à combattre.

Pensez-vous qu’il y a eu un changement depuis, pour les femmes, dans l’industrie de la création ?

Je ne suis pas sûre d’être la mieux placée pour en parler car je travaille principalement seule dans le monde de la création et pas directement au sein des institutions, mais j’ai l’impression que les femmes ont plus d’opportunités. Je pense simplement qu’elles ne reçoivent pas la reconnaissance de leur travail et de leurs réalisations, ni les titres ou les salaires des hommes qui les entourent.

Comment vos enfants vous inspirent-ils au quotidien dans votre travail/vie privée ? 

Mes enfants sont pleins de questions et d’enthousiasme pour la vie. Ils me rappellent chaque jour de sortir de ma routine et de me mettre au défi, de regarder le monde qui m’entoure d’une manière différente, de ne pas rester sur mes acquis. Ils m’incitent à faire mieux, car l’avenir leur appartient. Ils sont aussi les premiers à me dire s’ils aiment ou n’aiment pas quelque chose que j’ai fait !

Quels sont les principaux défis auxquels vous êtes confronté dans votre travail de création ? 

Le temps. Il n’y a jamais assez de temps. Mais je m’habitue à ce sentiment et j’apprends que cela est normal.

Quand avez-vous réalisé que cette carrière était faite pour vous ? 

Lorsque j’étudiais l’histoire de l’art à l’école et que je prenais des cours en parallèle, j’ai toujours pensé que pour être un artiste, il fallait être célèbre pour survivre. J’ai eu un professeur extraordinaire, Kirby Gookin, qui m’a fait connaître une communauté d’artistes à New York, dont sa femme, l’artiste Robin Kahn. Grâce à eux, j’ai réalisé que je pouvais jongler avec les emplois et trouver du temps pour faire de l’art et continuer à vivre. Robin était et est toujours une mère et une artiste extraordinaire. Elle était une inspiration sur la façon de faire ce que l’on aime et de soutenir les gens que l’on aime. Au fil du temps, les choses ont évolué et le temps que je consacre à mon studio s’est accru, tandis que mes emplois de jour ont diminué. Je n’ai jamais imaginé ne pas créer, mais je n’ai jamais pensé que je pourrais en faire ma vie et mon travail jusqu’à ce que cela se réalise.

Avez-vous des conseils à donner aux futures générations de femmes désireuses de poursuivre une carrière similaire à la vôtre ? 

Suivez ce que vous aimez et ce que vous vous imaginez faire de votre vie. Cela peut changer, alors faites attention à vous. Je pense qu’il est utile de faire partie d’une communauté dans laquelle vous vous reconnaissez. J’ai un côté très pratique et un vrai rêveur, et l’équilibre peut être difficile à trouver. Être organisé et efficace avec le temps m’a beaucoup aidé. Mais tout le monde est différent. Je pense qu’il est important d’être honnête avec soi-même et, à partir de là, de faire ce qui est réalisable au moment donné. 

Pour finir, nous aimerions vous remercier pour cette interview. Y a-t-il quelque chose que vous aimeriez partager avec les amis et la famille de Footpatrol ? Cela peut être n’importe quoi, comme susciter l’enthousiasme des gens pour quelque chose, un message de positivité, tout ce que vous voulez.

Merci de me donner l’occasion de dialoguer avec vous tous. Nous traversons une période très difficile et j’espère que nous pourrons tous nous concentrer sur une façon de créer de la joie et de l’espoir à un certain niveau chaque jour. Merci beaucoup Sarah, Sindiso, Soko & Fumiko & Vans !

 

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Footpatrol fête son 20ème anniversaire !

22.01.22 General



Cette année marque le 20ème anniversaire de Footpatrol ! À l’approche d’une année passionnante, nous avons pensé rendre la pareille à notre incroyable communauté qui a su faire preuve d’un dévouement sans faille à notre égard au fil des années. L’occasion pour nous de revenir sur l’histoire sans équivoque de notre marque emblématique, de nos humbles débuts à St. Annes Court jusqu’à l’ouverture de notre premier magasin européen à Paris. En guise de remerciement, nous vous offrons également un aperçu exclusif de notre année qui se veut riche en célébrations. Nous cherchons à faire plus, que simplement vous présenter et vous parler de sneakers cette fois ci, nous voulons utiliser cet anniversaire pour renouer avec notre communauté et vous témoigner notre reconnaissance.

Notre aventure dans le monde des sneakers a commencé dans notre magasin phare original de St. Annes Court, situé à Soho, fondé par les pionniers du streetwear Michael Kopelman, Simon Porter et Fraser Cooke en 2002, qui imaginaient un magasin de baskets indépendant offrant un éventail de possibilités exclusives tout en alimentant un consortium de haut niveau et de niche, distribuant les baskets les plus exclusives du marché provenant d’une sélection limitée de marques.

Contrairement à aujourd’hui, la scène des baskets en 2002 était une sous-culture beaucoup plus fermée qui n’était pas entièrement reconnue par le grand public. Avec des ressources minimales pour trouver des paires rares, les exclusivités japonaises et autres bizarreries, les collectionneurs étaient condamnés à leur propre perte. L’accès étant si limité, cela a permis à Footpatrol d’ouvrir ses portes et de se positionner sur ce marché de niche contribuant ainsi à en faire ce qu’il est devenu aujourd’hui.

Wes Tyerman, alors gérant du magasin, est devenu une partie intégrante du charme de notre marque. Affinant sa créativité et contribuant à certaines des collaborations les plus innovantes, Wes a su rester à la pointe de l’innovation, ouvrant la voie à des sneakers excentriques. Footpatrol s’est fait connaître en se spécialisant dans les drops exclusifs, les meilleures sorties et les pièces deadstock occasionnelles, comme nous le connaissons aujourd’hui !

L’esthétique de la cage métallique en mailles a donné un nouveau sens à l’espace consacré aux sneakers : authentique, unique et parfaitement fonctionnel, cette dernière était unique en son genre. Footpatrol est devenue la destination privilégiée des amateurs de sneakers, non seulement dans le centre “sous-culturel” londonien en pleine expansion, mais aussi à l’étranger, au sein de notre communauté.

Après 6 années de règne à St Annes Court, Footpatrol s’est éloigné du monde de la sneaker. Après une fermeture de deux ans, nous avons rouvert nos portes en 2010, au cœur de Soho, dans Berwick street, devenant ainsi un membre autonome du groupe JD. Signe d’un nouveau départ remarquable, mais aussi de maintien de l’authenticité de la marque, nous avons opté pour un changement de magasin novateur. Nous avons troqué notre esthétique de cage grillagée pour une structure de cabane en bois qui est devenue une traduction emblématique de notre philosophie de “l’espace dans l’espace”. Notre nouveau magasin a repoussé les limites architecturales et est devenu un espace réputé pour les amateurs de sneakers du monde entier. 

Berwick street est devenue le lieu le plus convoité pour installer notre magasin phare, en raison de son statut de centre social unique et animé; inondé de disquaires, de bars animés et de magasins de vêtements alimentant un marché de niche et à la mode, Soho est notoirement reconnu comme un melting pot culturel. Avec notre résidence d’origine de St. Annes à quelques minutes de marche, nous avons pensé que Soho serait le meilleur emplacement pour notre magasin, en y conservant la même identité de marque travaillée et authentique, à l’image notre communauté.

2018 a signifié un changement capital ; avec la décision d’étendre notre marque à l’échelle mondiale en ouvrant notre premier magasin européen situé dans le quartier du Marais à Paris. Le Marais est connu comme le quartier à la mode de Paris, se targuant d’un éventail de bars, de boutiques et de galeries au sein d’une communauté unique et culturellement diversifiée reflétant ainsi parfaitement le public que nous avons à Londres.

À l’image de l’esthétique du magasin parisien, notre magasin phare londonien a entrepris un profond remaniement, remplaçant l’extérieur de la cabane en bois par une structure futuriste en métal poli et en pierre qui offre un espace ouvert accueillant. Le réaménagement a été conçu par le studio d’architecture londonien Counterfeit Studio, qui est resté fidèle au charme fonctionnel de notre précédent magasin. Des bancs surdimensionnés ont remplacé les sections en fibre de verre, avec des étagères d’exposition et des revêtements en relief dans tout le magasin, créant un espace tangible pour notre personnel et nos clients. 

En s’inspirant de notre magasin de Paris, nous avons également opté pour un changement de logo. Le magasin de Londres arbore désormais, comme Paris, un néon à l’image de notre logo, en forme de masque à gaz se répétant à l’infini, avec un rendu de couleur blanc épuré, conçu par l’artiste Marcus Bracey et son équipe, venant parfaire le renouveau du magasin, en plus d’être un point de convergence important pour nous.

20 ans, c’est long, et au cours de ces 20 années, Footpatrol a été en mesure d’apporter une multitude de sorties, de collaborations, d’événements et bien plus encore. Au début de Footpatrol, cela s’est traduit par des présentations d’artistes tels que KAWS, co-animé avec Gimmie 5, qui a produit une série limitée de pièces, y compris un logo Footpatrol x Kaws (utilisé à ce jour comme photo de profil @Footpatrol_Ldn). Mais cela ne s’est pas arrêté là. Des collaborations et des SMUs spéciaux sont également passés par St. Annes Court avec des modèles comme Unkle x Nike ‘Dunkle’, Nike ‘London’ Dunk, Footpatrol Air Stab, Footpatrol Air Epic, adidas Campus et un modèle que nous pensons être parfois oublié, la Footpatrol x adidas ZX800 faisant partie du pack A-ZX originel. 

Depuis le règne de Berwick Street, nous avons été en mesure de maintenir la dynamique initiée par Michael Koppleman et Fraser Cooke. Footpatrol a continué à être à l’avant-garde de la scène sneakers londonienne, en participant à des projets tels que le Consortium 4D Futurecraft, le 25e anniversaire de la Gel Lyte 3 d’ASICS avec le lancement des “Squads” et même des SMU très limitées avec Le Coq Sportif. Quand on pense aux sneakers et à Londres, il est difficile de ne pas penser à Footpatrol et à certains de ses événements et installations mémorables. Des choses telles que le lancement du livre ‘F*ck Thats Delicious’ d’Action Bronson, la série de livres All Gone avec Michael Dupouy, la campagne Nikes ‘Vote Forward’ où Alex Hackett de Footpatrol a présenté sa propre itération d’Airmax, et l’un de nos moments préférés, la semaine d’occupation du magasin Off White x Nike ‘The Ten’ ! Footpatrol, c’est plus que des sneakers, c’est un centre culturel basé à Soho qui a toujours été là pour présenter quelque chose ou bien quelqu’un de nouveau, ou encore offrir une plateforme pour que vous puissiez partager vos histoires et soutenir notre communauté de plus d’une façon.

Notre plateforme a été utilisée pour permettre à notre communauté d’accéder à certains des drops les plus convoités au cours de ces 20 dernières années. À l’avenir, notre objectif est de continuer à le faire, de vous faire grandir et de vous offrir plus de soutien que jamais. Assurez-vous que vous avez également téléchargé l’application ‘Footpatrol launches’ pour vous tenir au courant des raffles, des sorties et des futurs contenus exclusifs. 

Avec la plateforme que nous avons, la communauté que nous avons créée et les fidèles passionnés qui nous soutiennent depuis le premier jour. Nous souhaitons poursuivre notre travail et contribuer à offrir à notre communauté un espace sûr, inclusif et solidaire, où chacun se sent le bienvenu dès qu’il franchit nos portes. Les magasins peuvent aider leurs communautés de bien d’autres manières que de donner accès à des sneakers. Nous avons la possibilité d’enseigner, d’encourager ceux qui veulent travailler dans le secteur et qui n’ont pas encore trouvé leur voie, et de leur permettre d’en apprendre davantage lorsqu’ils trouveront leurs premières paires pour leur collection. Et surtout, nous utilisons notre plateforme pour sensibiliser les gens à des sujets qui nous semblent importants. Ce sont ces fondements qui maintiennent Footpatrol à flot.

Alors gardez les yeux ouverts, nous avons une année à venir remplie d’événements, de discussions, de collaborations et bien plus encore !

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